Postcolonial-décolonial : la preuve par l'art

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Détails bibliographiques
Auteur principal: Toussaint, Évelyne, 1952-...., historienne de l'art.
Autres auteurs: Tenèze, Annabelle, 1979-...., conservatrice du patrimoine., Rahmani, Zahia, 1962-, Université Toulouse-Jean Jaurès. Département d'histoire de l'art et archéologie., France, Amériques, Espagne, Sociétés, Pouvoirs, Acteurs.
Support: Livre
Langue: Français
Publié: Toulouse : Presses universitaires du midi. C 2021.
Collection: Tempus artis. Essais
Sujets:
Autres localisations: Voir dans le Sudoc
Résumé: Les liens entre art contemporain, histoire coloniale, postcolonialisme et mouvements décoloniaux sont anciens et multiples. Des artistes, en Occident et ailleurs, depuis plusieurs décennies déjà, revisitent opportunément des concepts que les études postcoloniales ont approfondis ou inventés agency (agentivité), mimicry (mimétisme/simulacre) ou essentialisme stratégique , en autant d outils utiles à démêler la complexité des relations coloniales et, au-delà, de toutes les relations de domination. Des auteurs, relevant de ces champs d études conservant aujourd hui toute leur actualité politique, théorique et polémique, disent en retour tout l intérêt qu ils portent à la création contemporaine. Associant vingt historiens de l art et chercheurs en littérature, philosophie, droit ou psychanalyse, Postcolonial/Décolonial. La preuve par l art réunit des textes portant sur des productions artistiques (Betye Saar, Fred Wilson, Sarkis, Lidwien van de Ven, Voluspa Jarpa, Iris Kensmil, Jean Renoir et bien d autres), des propositions institutionnelles (Centro de Arte y Comunicación de Buenos Aires, Biennale de Venise ou Van Abbemuseum d Eindhoven), l historiographie de l histoire de l art ou celle du droit. Une place particulière est réservée aux singularités artistiques, théoriques et juridiques en Amérique latine, lieu d émergence des théories décoloniales.
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Résumé:Les liens entre art contemporain, histoire coloniale, postcolonialisme et mouvements décoloniaux sont anciens et multiples. Des artistes, en Occident et ailleurs, depuis plusieurs décennies déjà, revisitent opportunément des concepts que les études postcoloniales ont approfondis ou inventés agency (agentivité), mimicry (mimétisme/simulacre) ou essentialisme stratégique , en autant d outils utiles à démêler la complexité des relations coloniales et, au-delà, de toutes les relations de domination. Des auteurs, relevant de ces champs d études conservant aujourd hui toute leur actualité politique, théorique et polémique, disent en retour tout l intérêt qu ils portent à la création contemporaine. Associant vingt historiens de l art et chercheurs en littérature, philosophie, droit ou psychanalyse, Postcolonial/Décolonial. La preuve par l art réunit des textes portant sur des productions artistiques (Betye Saar, Fred Wilson, Sarkis, Lidwien van de Ven, Voluspa Jarpa, Iris Kensmil, Jean Renoir et bien d autres), des propositions institutionnelles (Centro de Arte y Comunicación de Buenos Aires, Biennale de Venise ou Van Abbemuseum d Eindhoven), l historiographie de l histoire de l art ou celle du droit. Une place particulière est réservée aux singularités artistiques, théoriques et juridiques en Amérique latine, lieu d émergence des théories décoloniales.
Description:Publié à l'occasion de journées d'études organisées de 2016 à 2018 par le Département d'histoire de l'art et l'UMR 5136 FRAMESPA de l'Université Toulouse-Jean Jaurès
Description matérielle:1 volume (204 pages) : illustrations en noir et en couleurs, couverture illustrée en couleurs ; 23 cm.
Bibliographie:Notes bibliographiques. Bibliographie p. [183]-199
ISBN:9782810707089 (br.) :
ISSN:1297-269X