Philosophie de l'impôt

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Auteur principal: Nemo, Philippe, 1949-
Support: Livre
Langue: Français
Publié: Paris : Presses Universitaires de France / Humensis, DL 2017.
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Résumé: Le philosophe et spécialiste des idées politiques revient sur les fondements historiques et théoriques de l'impôt et s'interroge alors sur ses fonctions légitimes, sa juste répartition, son volume ainsi que le type de société que celui-ci reflète et engendre. ↑Electre 2021
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245 1 0 |a Philosophie de l'impôt   |c Philippe Nemo. 
260 |a Paris :  |b Presses Universitaires de France / Humensis,  |c DL 2017. 
300 |a 1 vol. (237 p.) ;  |c 20 cm. 
504 |a Bibliogr. p. 227-[232]. Notes bibliogr. Index 
505 0 |a Introduction -- Chapitre 1. L'impôt moderne : une rupture -- Chapitre 2. Conceptions légitimes et illégitimes de l'impôt -- Chapitre 3. Doctrines et passions à l'origine de l'impôt sans contrepartie -- Chapitre 4. Réponses aux doctrines de l'impôt confiscatoire -- Chapitre 5. Socialisme fiscal et rupture du lien social -- Chapitre 6. Socialisme fiscal et déshumanisation -- Conclusion. Les principes d'une fiscalité juste et efficiente 
520 |a Le philosophe et spécialiste des idées politiques revient sur les fondements historiques et théoriques de l'impôt et s'interroge alors sur ses fonctions légitimes, sa juste répartition, son volume ainsi que le type de société que celui-ci reflète et engendre. ↑Electre 2021 
520 |a La 4e de couverture indique : "En ces temps où les prélèvements obligatoires battent tous les records et atteignent, pour la première fois dans l'histoire des pays civilisés, quelques 50% du PIB, il convient de remettre entièrement à plat les principes de la fiscalité. Il faut s'interroger sur les fonctions légitimes des impôts, leur volume souhaitable, leur juste répartition, enfin le type même de société que chaque conception de l'impôt tout à la fois reflète et engendre. Réflexions devenues rares en France depuis les lendemains de la Seconde Guerre mondiale où ont paru triompher, avec l'accord de la plupart des partis politiques, les principes fiscaux inspirés par le socialisme marxiste ou modéré, le solidarisme et le keynésianisme. Une telle démarche ne prend tout son sens que si l'on dépasse le point de vue technique du juriste fiscaliste ou de l'économiste. En effet, la fiscalité n'est pas un phénomène autonome, mais un rouage de la vie politique, économique et sociale. A ce titre, les idées qu'on se fait à son sujet dépendent de celles qu'on se fait de l'Etat, de la société, de l'économie, et même de la nature humaine et de la liberté. D'où la nécessité d'une Philosophie de l'impôt." 
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